Un dessein enthousiasmant (réconcilier l’homme et la nature), un parrain fédérateur (Jacques Perrin, comédien et cinéaste de « Microcosmos » ou encore d’ « Océans »), un cadre apaisant (l’ancien monastère de Sainte-Croix (Drôme), une nature préservée (le Parc Naturel Régional du Vercors). Telles sont les données idéales qui caractérisent le tout nouveau Festiwild qui s’inscrit précisément dans son époque comme l’expliquent les organisateurs : « Érosion spectaculaire de la biodiversité, 6ème extinction, pollutions, fragmentation des habitats na­turels, surexploitation des ressources… L’opposition entre le mode de vie occidental et la planète Terre est de plus en plus frontale… et invivable. »

Et de donner des raisons d’espérer :

« Parce que nous pensons que la dichotomie Homme/Nature n’est qu’un mythe toxique. Parce que tout indique que nos vies sont inextricablement entrelacées à d’innombrables autres vies humaines et non-humaines. Parce que nous pensons que le Sauvage n’est jamais loin mais au contraire tout autour de nous et même en nous. Nous voulons croire qu’il est encore possible d’envisager ces relations sur un mode plus apaisé et positif. »

On adhère bien sûr et le programme s’annonce passionnant (suivre le lien) d’autant que les passionnés de chevaux western auront le plaisir d’y retrouver Française Picavet. Cette artiste animalière (voir lien), qui excelle dans les portraits de chevaux (appaloosa, quarter et paint horse ont sa préférence !), animera un atelier à Festiwild.